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La vision comme métaphore
18 janvier 2018
Le mental peut tout guérir – Interview Psychologies Magazine
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Le point de vue d’un guérisseur sur le S.I.D.A.

Chacun d’entre nous est un système d’énergie. L’énergie circule à travers notre être, dirigée par notre conscience. Quand nous sommes en bonne santé ou en équilibre, l’énergie circule librement.

Le flux d’énergie est régulé par sept centres d’énergie, appelés chakras.

Toute maladie ou affection peut être décrite comme un état de déséquilibre. Le SIDA (ou séropositivité) est un état de déséquilibre qui affecte le système immunitaire. Le système immunitaire est gouverné ou contrôlé par le thymus, glande qui à son tour est régulée par le chakra du cœur. Le chakra du cœur est la partie de notre système énergétique qui affecte nos perceptions de l’amour et est affecté par nos perceptions de l’amour.

Ainsi, le SIDA est un état de déséquilibre qui, en quelque sorte, est en rapport avec la manière dont l’individu perçoit l’amour.

Cette maladie a commencé parmi les membres de notre société dont le mode de vie a créé un sens de séparation d’avec ceux qu’ils aimaient. Sans l’amour dont ils avaient besoin, et ne voyant aucune manière de sortir de leur dilemme, ils décidèrent à un certain moment qu’il valait mieux mourir. Alors leur système immunitaire commença à se détériorer pour réaliser leurs souhaits.

Parmi les membres de la communauté homosexuelle, la détermination d’affirmer la liberté de l’expression sexuelle s’accompagnait d’un besoin de cacher cette préférence sexuelle à leurs parents, à leurs collègues de travail et aux membres de la communauté hétérosexuelle en général, par peur de ne pas être acceptés et aimés.

Etant donné les attitudes souvent puritaines de la communauté hétérosexuelle, ces craintes étaient souvent justifiées, mais cela entraînait aussi chez beaucoup de membres de la communauté gay une non-acceptation d’eux-mêmes, leur donnant une image d’eux-mêmes qu’ils jugeaient, ce qui exacerbait l’exercice de leurs préférences sexuelles, accompagnée d’une exigence encore plus forte d’acceptation.

Sans l’acceptation d’eux-mêmes, ils auraient pourtant du mal à reconnaître l’acceptation des autres. Ils soupçonneraient les autres de les juger comme ils se jugent eux-mêmes.

Dans la communauté haïtienne, la sévère loi martiale imposée par le dictateur Duvalier créait une atmosphère de suspicion et de peur, même entre les membres d’une même famille, occultant l’amour. A nouveau, le style de vie ou les gens créaient un sens de séparation d’avec ceux qu’ils aimaient. Et ainsi c’est là aussi que le SIDA fit son apparition.

Les toxicomanes aussi, qui étaient affectés, vivaient un style de vie qui les séparait de ceux qu’ils aiment, et ils donc ont fermé leurs cœurs. Leurs enfants, ne trouvant pas l’amour dont ils avaient besoin, commencèrent aussi à mourir – à leur tour – d’un manque d’amour. Quand ces enfants allaient à l’école publique, ils étaient isolés, mis au ban et de nouveau pas aimés – parce qu’ils étaient malades!

Ils furent effrayés et les parents d’enfants sains exigèrent que les enfants sidaïques soient retirés des écoles. Ainsi, il y eut encore plus de non-acceptation.

Nos perceptions créent notre réalité. On peut dire que ceux qui ont développé le SIDA avaient la perception de ne pas être aimés. Cette perception était alimentée et confirmée et ils pouvaient ainsi renforcer encore davantage la croyance de base de ne pas être aimés, se prouvant ainsi que c’était vrai. En conséquence, ils se demandaient si la vie valait la peine d’être vécue.

La réaction de bon nombre d’entre eux à la perception d’eux-mêmes comme n’étant pas aimés fut de ne pas aimer à leur tour, et ainsi le chakra du cœur se fermait de plus en plus, affectant le thymus et tout le système immunitaire.

Notre société a créé le S.I.D.A. pour nous montrer que nous avons besoin d’aimer davantage. Nous sommes entrés dans l’Age du Verseau, l’ère du chakra du cœur. En tant que conscience planétaire, nous vivons une époque où cela m’a plus de sens de penser en termes de séparation ou de conflit. Nous sommes maintenant tenus de penser à la coopération, à ce que nous pouvons faire pour aider les autres, de penser en termes d’amour et de service.

C’est évident, par exemple, que nous ne pouvions pas dire à la Russie que Tchernobyl était son problème. Nous avons vu que les événements dans un pays peuvent avoir des effets sur d’autres pays, si ce n’est sur le monde entier. C’est devenu obligatoire de penser en termes de globalité, et en réalité, nous avons déjà commencé à le faire.

Le SIDA, comme n’importe quel état de déséquilibre, peut être guéri. Ce que cela demande c’est de l’amour.

Un jeune homme à San Francisco qui avait contracté le SIDA suivit une thérapie radicale qui inversa les effets de la maladie et le guérit. Il devait marcher dans les rues en portant des ballons, ce qui le démarquait des autres et lorsque des passants le regarderaient, il devait leur donner une carte disant « je t’aime. »

Au début, il se sentit la cible de tous les regards. Le deuxième jour, ce fut plus facile. Au troisième jour, il ressentit vraiment de l’amour pour les autres Êtres qui le voyaient comme étant différent – et il se sentit également aimé, même avec ses différences. Il guérit.

Louise Hay, une extraordinaire guérisseuse américaine, a réussi à inverser le symptôme du SIDA, en focalisant sur les aspects de pardon et d’acceptation de soi, et en utilisant des thérapies qui accentuaient ces qualités. Ses succès montrent l’efficacité de cette approche du cœur. Elle réussit mieux avec les patients sidaïques que toute personne dont j’aie entendu parler.

Dans l’expérience de l’auteur avec les guérisons de patients atteints du SIDA, le facteur consistant était le déséquilibre du chakra du cœur et la piètre qualité de leurs relations. Le médecin dit à un jeune homme qui avait réussi à s’ouvrir pour recevoir de l’amour pendant une guérison qu’il n’avait pas le SIDA après tout, mais seulement une infection générale causée par un champignon, le Candida. Pour un autre qui fut guéri, son médecin lui dit que le diagnostic initial devait être erroné.

Les gens peuvent guérir du SIDA quand ils apprennent à reconnaître l’amour et à lui faire confiance et qu’ils choisissent des relations qui les nourrissent plutôt que de les punir. Ils apprennent ainsi à cesser de se punir eux-mêmes et s’autorisent à être nourris. Ils apprennent à s’accepter et même à accepter ceux qui ne les acceptent pas.

Avec l’acceptation, avec l’amour, le chakra du cœur peut de nouveau fonctionner normalement, renforçant le thymus et par conséquent le système immunitaire. L’individu peut alors décider que la vie vaut à nouveau la peine d’être vécue après tout, puisque l’amour est revenu dans sa vie. Le flux d’énergie est restauré, amenant le retour vers l’expérience d’intégrité que nous appelons santé.

Nous sommes des Êtres d’énergie. Quand nous bloquons ou interrompons le flux de cette énergie, il en résulte une maladie ou une blessure. Quelquefois il s’agit d’un appel à l’amour.

Nous avons chacun la capacité de restaurer le flux d’énergie et d’apporter une abondance d’amour là où il y a perception d’un manque. Lorsque nous le faisons, une guérison se produit.
A l’heure actuelle, il est impératif de garder le cœur ouvert et de remplacer les jugements par l’acceptation. Il est vital pour nous d’apprendre à aimer toujours davantage et de nous autoriser nous-mêmes à être aimés. Nous devons devenir plus proches dans nos relations et utiliser la communication pour éclaircir les incompréhensions et les désaccords. Lorsque nous réussirons à nous maintenir dans un espace aimant, nous aurons un effet positif sur notre entourage, un effet de guérison.

Avec nos cœurs ouverts à l’amour tout autour de nous et en nous acceptant totalement nous-mêmes, nous ne créerons pas les conditions dans lesquelles le SIDA se développe.

La réponse est l’acceptation. La réponse est l’amour.

Acceptation

© Copyright Martin Brofman 1990

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